Philo de merde

Comme le dit le titre: philo de merde. J'ai une explication de texte à rendre vendredi, et je galère grave dessus. C'est pas que ce soit super difficile (enfin un peu quand même, mais bon), mais comme j'ai pas les idées claires l'après-midi, j'y arrive pas... Ce matin, après m'être fait sucer le sang par un gars en blouse blanche (il arrêtait pas de faire bouger la seringue dans tous les sens, ce con! Ça fait mal!), j'étais d'humeur à faire la philo, alors ni une ni deux, je m'y mets. Après avoir revu et relu le morceau de cours intéressant dans le cadre de cette explication à la noix - pour être polie - j'arrive à peu près à cerner ce que Nietzsche raconte sur l'inconscient, mais voilà qu'il faut que j'aille en cours, et quand je m'y remets à 14h, devinez quoi? Bah tout était parti... Y a que le matin que je réussis à connecter mes neurones correctement. C'est affligeant. Surtout que l'après-midi dure plus longtemps que le matin (c'est un gros nawak ce que je raconte là étant donné qu'il y a 12h le matin et 12h le soir, mais je suppose que vous m'avez compris: on dort plus le matin qu'on ne dort le soir, donc on a plus le temps de faire ce qu'on veut l'après-midi que le matin. Et si vous avez pas compris: merde). Donc, tout ça pour dire que parler de l'inconscient, c'est sympa (non, c'est pas ironique), mais dans une explication de texte, c'est merdique.

On parle de Freud en ce moment, et cet homme très intelligent a trouvé le moyen de sortir une énormité comme j'en avais jamais vue! Je la raconterai dans un petit dessin (vous: "oh non, pas encore!", moi: "Hé, c'est le jeu ma pauvre Lucette!") ^^