27 juin 2010
Le métier de correcteur
On dit souvent qu'il faut toujours qu'il y ait des morts pour qu'on réagisse. Pour la langue française, ça risque de se passer de la même manière; la seule différence, c'est qu'elle est unique. Et quand je lis ça, je ne peux pas m'empêcher de penser qu'on...