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La passionnante vie de Naëlle
2 octobre 2011

The Legend of Zelda : Spirit Tracks

Vous vous souvenez de mon article sur The Legend of Zelda: Phantom Hourglass dans lequel je disais que la prochaine critique de jeu vidéo serait probablement sur The Legend of Zelda : Spirit Tracks ? Bon, eh ben entre ces deux critiques il s’est écoulé un an et demi et six critiques de jeu vidéo. Hum… Sans commentaire.

Couv Legend of Zelda Spirit Tracks

The Legend of Zelda : Spirit Tracks est un jeu sorti sur DS en 2009. L’action se déroule plusieurs décennies après Phantom Hourglass.

L’histoire
La princesse Zelda règne tranquillement sur le royaume d’Hyrule lorsqu’un méchant nommé Kimado – qu’on a étrangement envie d’appeler Mikado – décide de déchaîner sa hargne contre notre princesse détestée (vous saurez bientôt pourquoi) en faisant revenir des abîmes un dieu démon qui a jadis été emprisonné grâce à la magie de la Tour des Dieux. Logiquement, Kimado s’en prend donc à la Tour des Dieux et la démonte joyeusement, faisant ainsi disparaître une bonne partie des voies ferrées des quatre régions entourant la Tour. Par la même occasion, il chipe le corps de la princesse parce qu’il en a besoin pour réincarner Ballard, le dieu démon. Notre petit Link, bien gentil, se sent alors obligé d’aider Zelda, devenue un esprit : il prend les armes, monte à bord de son petit train et en route mauvaise troupe pour l’aventure à travers les quatre régions pour reconstituer les voies et botter les fesses des méchants boss.

Les combats et mouvements
Pas grand-chose n’a changé depuis Phantom Hourglass, à part qu’on peut écrire partout sur la carte et que les roulades sont moins chiantes à faire. Tout se fait toujours au stylet.

Link et la flûte de la terre 2Les objets
On a toujours les traditionnels boomerang, arc et bombes, accompagnés de nouveaux objets tels que l’hélice (qui crée un tourbillon de vent quand on souffle dans le micro), le grappin (sauf que là ça s’appelle un fouet : c’est tout de suite plus drôle), une espèce de baguette de sorcier (qui élève le niveau du sable, permettant ainsi d’atteindre des endroits en hauteur)… Et parlons de l’instrument clé du jeu, qui équivaut à la baguette des vents dans The Wind Waker : la flûte de la terre. C’est une flûte de pan, en fait. Bon alors, c’est mignon, hein, mais il y a un petit problème : quand il faut sauter une note, on doit attendre que le son ait fini de s’échapper de l’instrument pour aller à l’autre note, sans quoi la note intermédiaire est jouée et c’est foutu, faut recommencer. Ҫa m’a bien gavée, pour le boss de fin. Et je trouve qu’on l’utilise pas assez. Dans le donjon final, par exemple, à part pour le chant de la guérison, je l’ai jamais utilisée.

Les graphismes
C’est exactement pareil que dans Phantom Hourglass. Rien de nouveau. Donc c’est assez pixellisé et c’est joli.

La musique
De jolies musiques, une fois de plus, mais aucune ne m’a vraiment marquée.

Avis général
Un conseil : n’arrêtez JAMAIS de jouer aussi Link et Zelda-armurelongtemps à un jeu de ce genre ! Autant Professeur Layton, on peut facilement s’arrêter plusieurs mois sans que ce soit gênant (le professeur tenant un journal, ça aide beaucoup à se remettre dans le bain), autant un jeu d’action comme Zelda c’est carrément pas recommandé. Comme je l’ai dit, j’ai repris le jeu un an et demi après l’avoir commencé, et j’étais arrivée au donjon final. Dur de s’y remettre.
En parlant du donjon final, pitain qu’est-ce qu’il était ardu ! Même en regardant la soluce sur jeuxvideo.com, c’était casse-bonbon, alors imaginez le temps que j’aurais mis si j’avais décidé de me débrouiller toute seule. Je me souviens plus trop, mais il me semble que d’une manière générale, à part dans la Tour de Dieux, les donjons étaient pas très difficiles.
Notons la présence de pleiiins de quêtes annexes, comme la chasse aux lapins (j’ai jamais trouvé les deux lapins de la contrée des mers qui me manquaient. Saloperies !), les services à rendre aux gens pour débloquer des voies ferrées, les tampons à récolter pour Nico (le petit vieux qui a élevé Link), retrouver ce débile de Ryan chaque fois qu’il nous envoie une photo d’un endroit paumé… Mais on a aussi un tas de petits défis, comme dans le village Boquillon où on doit finir le parcours le plus rapidement possible, ou au château où on doit massacrer plein d’ennemis à la suite sans récupérer de cœurs. Ҫa pullule de libellules, donc.
J’ai kiffé les voyages dans le train, c’était hyper fun. Le seul problème, c’est qu’il allait pas assez vite. Même à la vitesse maximale on avait l’impression de faire une promenade, les cheveux ondulant au gré du vent printanier, une main tout de même sur le canon pour refroidir les ennemis qui voudraient déranger notre visite du pays.
Il faut que je parle de Zelda : oui, elle est vachement plus utile et « personnifiée » que dans tous les autres jeux de la série auxquels j’ai pu jouer, mais qu’est-ce qu’elle est relou ! C’est un esprit et il faut quand même qu’elle flippe pour de malheureuses souris ou les petits machins électriques lancés par Kimado lors du combat final. Sans compter un tas de petites réflexions d’une niaiserie incroyable et une balourdise à toute épreuve (lorsqu’elle est dans une armure).

Bref ! The Legend of Zelda : Spirit Tracks est un chouette jeu qui fait passer un chouette moment (sauf le boss final, qui m’a carrément fait balancer la DS à l’autre bout du lit).
The Legend of Zelda : Ocarina of Time 3D attend sagement sur mon étagère, est-ce que j’annonce que ce sera la prochaine critique de jeu vidéo ou pas… ?

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Commentaires
L
Ça serait bien si il y aurait plus d amour entre link et zelda.
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